Adèle Verdreaux Là où il y a une femme, il y a de la magie
Tu étais obnubiler par la sorcellerie bien avant de découvrir que tu étais pourvue d'une emprunte magique. + Ta passion pour la sorcellerie à virer à l'obsession. Tu te gave de tous le savoir magique se trouvant à ta portée, tu cultives cette fascination en te nourrissant et t'essayant à des pratiques peu connue, parfois issue de fictions moldues. Tu effleures les limites du monde occultes sans jamais y trouver de fin. + Flirtant avec les dangers d'une magie que tu ne connaissais que très peu, tu as créé un cercle de sorcier alors que tu n'étais encore qu'une apprentie sorcière. + Tu respectes énormément la nature, mère de cette magie qui t'a été offerte en cadeau. Tu te perds dans des rituels de plus en plus sombre et obscure. + Les rumeurs filent et sifflent. Tu es cette née moldue étrange qui se noie dans des connaissance magique bien plus étendue que beaucoup de sorcier d'ascendance sorcière. + Chaque été est propice à la découverte de nouvelle forme de magie. Tu t'évades pour explorée des contrée dont l'empreinte magique est particulièrement forte. Chacun de tes voyages est un pèlerinage, une façon de se rapprocher d'une magie ancestrale. + Tu as abandonnés la médecine traditionnelle, tu ne te fies plus qu'aux plantes que mère nature t'offre. + Ta mère s'inquiète fortement à ton sujet. Elle voit ton état se dégradé, elle voit cette magie t'ensevelir toute entière, elle e parvient plus à reconnaître sa fille lorsqu'elle pose les yeux sur toi. + Un sourire lointain est figé sur tes lèvres d'idéaliste. Tu n'as jamais été aussi heureuse de ta vie. Tu t'autorise les moindre de tes désirs, affranchies du devoir, tu t'abandonnes complètement. Tu es une amoureuse de la nature, teintée de ténèbres. Tu ne sais pas, tu ne vois pas l'emprise de cette magie sur toi. Tu ressens juste cette état de plénitude parfaite. + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote + Trait de caractère + Fait sur le personnage + Point important + Anecdote +
Nom complet +Adèle Zoé Verdreaux. Ça glisse délicieusement sur les lèvres. La touche française glisse sur la langue alors que les origines africaines parcours sa peau chocolatée. Descendante de l'esclavagisme qui a rongé cette région du monde pendant bien trop longtemps, Tu portes en toi les plaies béantes d'un passé qui ne devrait jamais être oublié. Âge +Date et lieu de naissance +Tu es née un vendredi, au dix neuvième jour du moi de mars en mille neuf cent quatre vingt treize. Tu as vu le jour dans un vieux tacos qui emmenait ta mère aux Ursulines, un des hôpitaux moldus de la Nouvelle Orléans.Origines +T'es afro-américaine. Bercée entre deux mondes. Papa est noire comme le café, maman est blanche comme le lait et toi, toi, tu es couleur café au lait. Exuiq mélange de saveur. Trop claire pour être noire, trop typée pour être blanche. Tu navigues entre deux eaux. Tu navigues entre deux peaux.Sang +Tu est une née moldue. Tu n'aime pas plus cette appellation que Sang de bourbe. La magie roule dans tes veines, choisie par la magie elle-même. Élue par mère nature, elle t'a transmis des pouvoirs dont tu n'osais même pas rêver.Ancienne école +Salem sonnait comme une évidence, Tu t'es pavanée sur les traces des sorcières de l'Essex, te galvanisant de cette magie enfouie dans la terre.Cursus et année + Sorcière de troisième année en histoire et géographie de la magie. Immergée depuis l'enfance par les science occultes, tu t'imprègnes de l'histoire qui a porté la sorcellerie avec une passion dévorante. Faction +La créativité des émeraudes s'extirpe de tout ton être alors que la bizarrerie des saphirs t’enveloppe tout entière. Artiste torturée, aux idées sordides et loufoques. Esprit virevoltant ingénieusement. Tu es un savoureux mélange. Tu es une combinaison étonnante. Bercée par les illusions d'un monde que tu t'es approprier, tu vis avec des certitudes bafouées. Ta soif de connaissance teinté de ténèbres t'a guidé juqu'au diamant.Option + Tu as choisi l'histoire de l'art par défaut, te refusant de te baigner dans la culture moldue que tu ne connais que trop bien. A contrario, tu regrettes les imperfections de tes connaissances en matière de sorcellerie. Il y a tellement de chemin que tu n'as pas encore emprunté, des chemins qui sont pas exploité à l'académie. Statut civil + Ton cœur voltige. Amoureuse depuis bien trop longtemps sans jamais oser te l'avouer. Ton le monde semble avoir compris ce que tu n'as pas voulu voir. Tu repousses le dégoût t’étreint les entrailles à chaque fois qu'il s'est perdu dans les bras d'une autre. Cœur solitaire, par fierté, par peur. Orientation sexuelle + Les rumeurs sifflent et persiflent, tu as le cœur trop sombre pour t'amouracher de qui que ce soit. Tu n'es capable d'aimer personne si ce n'est cette magie sombre qui te dévore l'âme. Ton cœur est à un homme. Un seul. Ton corps s'amuse entre les doigts de ces autres qui ne parviennent pas à t'apprivoiser. Baguette + Une larme de sirène contenue dans 33 centimètre de Cyprès.Patronus +[i]Un corbeau.[/b] L'oiseau de mauvaise augure. Un présage sombre et austère.Epouvantard +La magie dégueule de ton être, elle s'échappe, elle te quitte et t'abandonne.Faction +diamant.Avatar +Ashley Moore.
Le moldu derrière l'ordinateur
Pseudo/prénom +Elodie, alias VOYOU. Âge +vingt cinq ans, le quart de siècle.Un mot sur le forum ?Il est pas beau notre bébé?Personnage +inventé.Un dernier mot ?Par Merlin ce que je suis heureuse de vous voir ici.
Les cris du bambin résonne dans l'appartement. Tu sors doucement de tes rêves pour entrer dans la danse. Tu te relèves, machinalement, tu te relèves et tu traverses la pièce, enfilant un gilet pour couvrir ta peau. De grosses cernes violacées soulignent tes orbes noisettes. Tu as oublié d'être belle. Tu as oublié d'être femme. T'es juste une mère célibataire qui fait ce qu'elle peut pour s'en sortir, pour elle. Ce petit bout de vie qui tend ses bras vers toi pour que tu l'étreignes. Tu la cales contre ton cœur, déposant un baiser sur le dessus de son crâne. Sa peau chocolaté tranche avec la tienne, translucide, presque malade. Ça choque. Ça déplaît. Qu'est ce qu'elle fout, cette blanche avec un bébé noir. Et toute seule, de surcroît. Y a des langues de p*tes qui laissent entendre qu'elle s'est faite engrossée et que le père a bien vite foutu le camp. Et comme si cela ne suffisait pas, il y a ce type qui passe un peu trop souvent. C'est à croire que tu n'a pas appris ta leçon. Ça ne les regarde pas... Mais cela ne les empêche pas de parler... Ah pour parler ils parlent, ils inventent ce qu'ils ne savent pas, ils t'inventent une vie... Comme si la tienne ne te suffisait pas. Les pleures persistent, perçant et strident. Ça te déchire le cœur. Ça t'agaces. Ça t'fout les nerfs. Tu t'en veux d'être cette mère horrible qui supporte même pas le cris de sa propre gamine. Tu te sens misérable. T'es qu'une foutue incapable. Pourtant tu l'aimes. Elle est la plus belle chose qui te soit arrivé. Mais ce cris... Tu ne les supportes plus. Les larmes te brûlent les yeux. Shut. Mon amour. Tu la serres un peu plus contre ton corps. Cette petite chose si fragile. Tu la berces, laissant tes pas traîner dans l'appartement, avide de retrouver le silence. Tu finis par te laisser tomber contre la vieille chaise à bascule que tu a réussi à t'offrir pour presque rien. Ton pied donne l'impulsion, berçant vos deux corps. Les hurlements de ton fils s'apaisent. Tu te laisses envelopper par ce calme momentané. Tes paupières se referment sur tes yeux fatigués. Tu sombres à nouveau.
Pensine de Marcel Dubois, un inconnu, le père que tu n'as jamais connu
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Dollhouse [Adèle]
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